Lutte contre la cybercriminalitéQuand les entreprises romandes font appel à des pirates éthiques
Payer des pirates éthiques pour attaquer son système informatique devient indispensable en matière de cybersécurité. Venue des États-Unis, la tendance du «bug bounty» s’impose en Suisse, de La Poste et Swisscom, jusqu’aux administrations et PME.
![Face au danger d’attaques informatiques, le phénomène du bug bounty s’est généralisé au cours des années 2010 aux États-Unis et explose désormais en Europe.](https://cdn.unitycms.io/images/0mTalUWdqrvBznKVITm6i0.jpg?op=ocroped&val=1200,1200,1000,1000,0,0&sum=a8bHVltLPWI)
Face au danger d’attaques informatiques, le phénomène du bug bounty s’est généralisé au cours des années 2010 aux États-Unis et explose désormais en Europe.
GETTY IMAGES
Cet article a été rédigé par les journalistes de «Bilan». Retrouvez le suivi de l’actualité sur Bilan.ch
Face à l’explosion du cybercrime, tous les moyens sont bons pour gagner en sécurité informatique. Y compris payer des armées de pirates éthiques – «les white hats» ou «chapeaux blancs» – pour trouver les vulnérabilités et failles avant les individus malveillants.
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