Un contrat qui tourne malSa boutique de luxe n’est plus la bienvenue au Montreux Palace
À peine installé dans l’hôtel, un nouveau commerce est déjà poussé vers la porte de sortie. Sa gérante crie à la bavure légale et à la rivalité mal vécue d’un magasin voisin.

Manal, jeune gérante de la boutique Taj (ici dans son premier local sur la Grand-Rue), est scandalisée du «retournement de veste» du Montreux Palace.
24HEURES/Chantal Dervey
Début mai, tout souriait à Manal. La jeune femme de 25 ans, gérante de la boutique Taj, propriété de sa mère, décrochait un nouveau bail dans le hall d’entrée du prestigieux Montreux Palace. Bien que modeste, l’espace de 25 m2 est pensé comme un prolongement de la vitrine déjà existante sur la Grand-Rue, à deux pas de l’hôtel. Une aubaine pour développer ses relations avec la clientèle de luxe.
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